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par simox Sam 21 Juin - 18:58Introduction
A Brâkmar la vie est dure. Il n'y a plus rien à manger, depuis que les Bontariens tentent de prendre la ville, par vagues successives. Les femmes et les enfants doivent sans cesse apporter des flèches, ou aider comme ils peuvent. Longtemps que ça dure, mais aucun des deux camps ne veut céder le moindre centimètre de terrain. Je suis né la bas, pendant la guerre, et 16 ans après, rien n'a changé, les deux camps se battent toujours sans répit ! Peu d'enfants survivent, au milieu de cet enfer, mais moi, j'ai eu de cette chance ! Un service militaire obligatoire a été instauré, pour ceux qui ont plus de 18 ans, mais l'on peut s'engager avant, à partir de 15 ans. C'est ce que j'ai choisi, et pour l'instant, je ne l'ai jamais regretté ! On se bat chaque jour, chaque heure, on ne mange presque pas, on ne se repose pas, mais, rien ne fait plus chaud au cœur que de se dire que l'on fait tout pour défendre sa patrie. Dans peu de temps, je vais être promu Major, grâce à mes nombreux exploits militaires. Je serais toujours sur le front, mais je ne serais plus commandé, mais commandant ! Rien ne me résistera, enfin, c'est ce que j’espère ! Actuellement, nous avons un peu inversée la tendance, et nous tentons de prendre le village des Brigandins, un point clé dans la conquête de Bonta, grâce à leurs dirigeables, qui nous pourrait peut être nous permettre de faire des raids aériens, comme nous en avons subis pendant si longtemps !
Chapitre 1
Des explosions retentissent de tous les côtés, des flèches se plantent dans nos boucliers, nous tailladons les ennemis, nous les pourfendons, dans une mêlée intense. Je pars un coup d'épée, une flèche me frôle, et je frappe un Bontarien, qui doit à peine avoir mon âge, du tranchant de mon épée. Il part mon coup, et, de son marteau de forgeron tente de m'atteindre. Je lui assène un coup du pommeau de mon épée dans la figure, son nez saigne abondamment. Je pense que c'est fini pour lui, mais non. D'un seul coup, je ne le vois plus, et à la dernière seconde, je me retourne, juste à temps pour écarter ma tête de la trajectoire de son marteau, qui me touche à l'épaule (Comment est-il passé derrière moi ? Je ne le sais pas), je lâche mon épée, ma main tremble, et je sens un liquide chaud couler le long de mon bras. Il me frappe sans cesse, j'arrive à parer la plupart des coups, mais je fatigue, alors que lui, je ne sais comment il fait, arrive à rester de marbre. Je ne sens plus mes jambes, et ma vue commence à se troubler, mais alors, le cors des Bontariens retentit : La retraite. Le jeune soldat recule, avec l'agilité d'un chat, et me lance un regard haineux.
Chapitre 2
Après cette dure bataille, nous sommes rentrés à notre base, située dans la forêt sombre, deux fois moins nombreux que quand nous étions partis, et la moitié blessés, moi compris. Un médecin pansa mon bras, puis je vis notre chef, Xentrix, qui dirigeait les opérations militaires de Brâkmar depuis sept années maintenant. Je fis quelque pas dans sa direction, il se tourna vers moi, et me lança un regard noir :
Fais plus attention la prochaine fois, si le combat avait été long, tu serais mort !
Mais... Comment savez vous que ma blessure est grave rien qu'en me regardant ? O_o
J'ai de l’expérience petit, pourquoi crois tu que j'ai ce poste ?"
Chapitre 3
Le tonnerre grondait, et il pleuvait depuis maintenant 3 jours, comme si le ciel se déchaînait contre nous. Je voyais des éclairs zébrer le ciel à travers la toile de ma tente, et sentais le froid aussi bien que si j'étais dehors, à un détail près, je n'étais pas trop mouillé, mais de toute façon, j'allais bientôt l'être, quand je devrais prendre la relève de la garde, c'est à dire... bientôt ! Au moment même où je pensais cela, le cor qui devait annoncer cette fameuse relève sonna, et je sorti de ma tente. Aussitôt, je regrettais d'avoir dit avoir aussi froid que dehors lorsque j'étais dans ma tente ! Dehors, on sentait aussi le vent, et en quelques secondes, je fus trempé, des pieds à la tête ! Alors, pendant deux heures qui me parurent un siècle, je marchais. Plus qu'une heure me dis-je ! Alors, une flèche siffla juste à côté de moi, et un garde cria :
On nous attaque !!!
*Bruit de centaines de flèches qui s'abattent en même temps*
Ce fût la panique, jamais les Bontariens n'avaient osé attaquer directement notre camp. Aujourd'hui, nous avons appris qu'il y avait un début à tout. Xentrix sonna presque immédiatement le repli, mais nous avions eu le temps de perdre un bon nombre d'hommes, et ma blessure, mouillée, me faisait souffrir (elle du coup de marteau pour ceux qui ont pas suivi).
Alors, vous en pensez quoi (le chapitre 2 est un peu court, mais je n'ai pas le temps !) histoire de voir si je continue ou pas !
A Brâkmar la vie est dure. Il n'y a plus rien à manger, depuis que les Bontariens tentent de prendre la ville, par vagues successives. Les femmes et les enfants doivent sans cesse apporter des flèches, ou aider comme ils peuvent. Longtemps que ça dure, mais aucun des deux camps ne veut céder le moindre centimètre de terrain. Je suis né la bas, pendant la guerre, et 16 ans après, rien n'a changé, les deux camps se battent toujours sans répit ! Peu d'enfants survivent, au milieu de cet enfer, mais moi, j'ai eu de cette chance ! Un service militaire obligatoire a été instauré, pour ceux qui ont plus de 18 ans, mais l'on peut s'engager avant, à partir de 15 ans. C'est ce que j'ai choisi, et pour l'instant, je ne l'ai jamais regretté ! On se bat chaque jour, chaque heure, on ne mange presque pas, on ne se repose pas, mais, rien ne fait plus chaud au cœur que de se dire que l'on fait tout pour défendre sa patrie. Dans peu de temps, je vais être promu Major, grâce à mes nombreux exploits militaires. Je serais toujours sur le front, mais je ne serais plus commandé, mais commandant ! Rien ne me résistera, enfin, c'est ce que j’espère ! Actuellement, nous avons un peu inversée la tendance, et nous tentons de prendre le village des Brigandins, un point clé dans la conquête de Bonta, grâce à leurs dirigeables, qui nous pourrait peut être nous permettre de faire des raids aériens, comme nous en avons subis pendant si longtemps !
Chapitre 1
Des explosions retentissent de tous les côtés, des flèches se plantent dans nos boucliers, nous tailladons les ennemis, nous les pourfendons, dans une mêlée intense. Je pars un coup d'épée, une flèche me frôle, et je frappe un Bontarien, qui doit à peine avoir mon âge, du tranchant de mon épée. Il part mon coup, et, de son marteau de forgeron tente de m'atteindre. Je lui assène un coup du pommeau de mon épée dans la figure, son nez saigne abondamment. Je pense que c'est fini pour lui, mais non. D'un seul coup, je ne le vois plus, et à la dernière seconde, je me retourne, juste à temps pour écarter ma tête de la trajectoire de son marteau, qui me touche à l'épaule (Comment est-il passé derrière moi ? Je ne le sais pas), je lâche mon épée, ma main tremble, et je sens un liquide chaud couler le long de mon bras. Il me frappe sans cesse, j'arrive à parer la plupart des coups, mais je fatigue, alors que lui, je ne sais comment il fait, arrive à rester de marbre. Je ne sens plus mes jambes, et ma vue commence à se troubler, mais alors, le cors des Bontariens retentit : La retraite. Le jeune soldat recule, avec l'agilité d'un chat, et me lance un regard haineux.
Chapitre 2
Après cette dure bataille, nous sommes rentrés à notre base, située dans la forêt sombre, deux fois moins nombreux que quand nous étions partis, et la moitié blessés, moi compris. Un médecin pansa mon bras, puis je vis notre chef, Xentrix, qui dirigeait les opérations militaires de Brâkmar depuis sept années maintenant. Je fis quelque pas dans sa direction, il se tourna vers moi, et me lança un regard noir :
Fais plus attention la prochaine fois, si le combat avait été long, tu serais mort !
Mais... Comment savez vous que ma blessure est grave rien qu'en me regardant ? O_o
J'ai de l’expérience petit, pourquoi crois tu que j'ai ce poste ?"
Chapitre 3
Le tonnerre grondait, et il pleuvait depuis maintenant 3 jours, comme si le ciel se déchaînait contre nous. Je voyais des éclairs zébrer le ciel à travers la toile de ma tente, et sentais le froid aussi bien que si j'étais dehors, à un détail près, je n'étais pas trop mouillé, mais de toute façon, j'allais bientôt l'être, quand je devrais prendre la relève de la garde, c'est à dire... bientôt ! Au moment même où je pensais cela, le cor qui devait annoncer cette fameuse relève sonna, et je sorti de ma tente. Aussitôt, je regrettais d'avoir dit avoir aussi froid que dehors lorsque j'étais dans ma tente ! Dehors, on sentait aussi le vent, et en quelques secondes, je fus trempé, des pieds à la tête ! Alors, pendant deux heures qui me parurent un siècle, je marchais. Plus qu'une heure me dis-je ! Alors, une flèche siffla juste à côté de moi, et un garde cria :
On nous attaque !!!
*Bruit de centaines de flèches qui s'abattent en même temps*
Ce fût la panique, jamais les Bontariens n'avaient osé attaquer directement notre camp. Aujourd'hui, nous avons appris qu'il y avait un début à tout. Xentrix sonna presque immédiatement le repli, mais nous avions eu le temps de perdre un bon nombre d'hommes, et ma blessure, mouillée, me faisait souffrir (elle du coup de marteau pour ceux qui ont pas suivi).
Alors, vous en pensez quoi (le chapitre 2 est un peu court, mais je n'ai pas le temps !) histoire de voir si je continue ou pas !
